Et puis quoi d'autre ?

Ce blog est resté bien silencieux pendant des mois, et puis voilà, plein de nouveaux posts. Le petit utilitaire ScribeFire est bien utile: je ne dois plus me connecter à Blogger, et je peux composer mes posts très facilement. Mais c'est surtout la paresse qui exlique mon absence... J'ai lu des livres, j'ai vu des films, je n'ai pas été à des concerts jusqu'à ce soir (Psapp au Parc de Bruxelles), j'ai cuisiné plein de bonnes choses, j'ai été à la mer, j'ai réservé un voyage en Thaïlande pour fin janvier, j'ai écouté des disques, je vais à Séville au Womex fin octobre (où je verrai Dengue Fever et Hazmat Modine notamment).... Et je prépare un carnet de photos pour les septante ans de mon papa, avec des histoires sur son enfance (le petit blond tout devant).

Après ABBA et Europe, Jonas Anderson

Jonas Anderson est suédois mais est un chanteur populaire en Thaïlande. Il interprète des chansons dans le style luk thung, la country thaïlandaise. Ne parlant pas Thaï, il doit apprendre toutes les paroles par coeur, ce qui explique sans doute pourquoi son répertoire est assez limité. N'empêche, je chercherai son disque cet hiver à Bangkok. Une interview, et un clip:

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Don't walk away

Un peu de rap cambogien... j'aime beaucoup l'anglais quasi incompréhensible, les grosses voitures, le serpent et la jolie chanteuse de r'n'b, euh pardon de pop cambodgienne.

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Un peu de trash culture

Dans un registre different de Pop-Up, je viens de terminer l'integrale des Annales du Disque-Monde de Terry Pratchett , enfin l'integrale des titres parus chez Press-Pocket. Je les conseille vivement aux amoureux de fantasy, de non-sense, de reflexions metaphysiques sur la vie des tortues interstellaires et de petits pains fourres aux saucisses de provenance douteuse. Question manga j'ai decouvert Kurosagi : livraison de cadavre, il y a quelque temps et bien que moins pervers que MPD Psycho il n'en est pas moins interessant, c'est un peu tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la mort et son commerce sans oser le demander, le trait est agreable et bien maitrise le seul defaut c'est la fragilite de la couverture en papier recycle. Je conseille egalement le coffret John Waters qui demontre bien que certains remake sont ridicule et inutile (hairspray avec travolta alors que divine est un googol fois mieux), le coffret inclut Pink Flamingos, Female Trouble, Polyester, Desperate Living et Hairspray. La je vais finir mon cycle Hammer et Russ Meyer avant de me replonger dans Very Thai pour preparer notre voyage en Thailande cet hiver.