26 avril 2007

Pour en finir ?

Arte était présent au Bifff aussi cette année. Sur leur site, ils ont fait un compte-rendu du festival. Question d'avoir un avis différent...

20 avril 2007

En attendant....

En attendant la suite des chroniques de Geoffroy (qui croule sous le travail, un bête téléfilm français avec des plans foireux à transformer), voici celles de Brigitte...
A part ça, je ne suis pas encore reposée du festival, mais je suis assez contente: j'ai vu une vingtaine de films, ce qui est pas mal pour moi. Mes favoris sont The host (le grand prix), Plane dead (les zombies dans l'avion), Hot Fuzz et Black Sheep et avec mention spéciale pour Marmorera (les images, la musique et l'ambiance) et Jade Warrior (les images et la musique mais certainement pas le scénario embrouillé !).

15 avril 2007

Bifff 2007 : c'est beau une buffy en brune

The Return

Texas poisseux et poussiereux, Sarah Michelle Gellar en superbe brune ereintee, photos dans les bruns delaves et cyan brules.
Bien que lent, le scenario construit son puzzle petit a petit, liant traumatisme passe d'une petite fille trop sensible
(il aurait du faire un effort de ce cote tant on connait le visage de SMG enfant) et sordide histoire de viol redneck
Chaudement recommende, on y sent l'influence inconsciente de Tobe Hooper par moment, quelques touches de Near Dark pour le cote ma vie au Texas.
La Salle a moyennement apprecie ... (attention jeux de mot)

Bifff 2007 : Mais qu'est-ce que je fais la ?

Broken : Gardeners Muderer's world

On nous avait promis du gore pire que Saw... Mmmmmoui, au debut et a deux trois moment.
Quelques lecons de botanique et de decoupes plus loins on s'ennuie un peu autour de ce feu de camp.
On appreciera la tete de pizza de la mere qui tente de delivrer sa fille, dommage qu'elle n'y aie pas mis d'origan
Un film comme une soiree entre potes autour de bieres et d'un bon Thrill Kill, bien envoye, vite oublie, on se revoit bientot je commence a avoir mal de tete.


Unknown : qui suis-je, d'ou viens-je, ou courge-je, asperge, concombre

Witloof* racontant le reveil et les tensiosn d'une poignee d'hommes dans un entrepot desaffectes mais dont il est impossible de sortir.
Kidnappeurs et kidnappes se reveillent amnesiques, se battent, parlottent, pendant que la police tente de les retrouver.
Le film s'est viande aux USA, trop dur a comprendre pour le cerveau de moineaux americains sans doute.
Ici , les personnages ne sont pas assez caracterises, on a beau railler Tarantino, mais on se retrouve plus dans Reservoir Dog, ou d'autres de ses films
tant le genie des discussions futiles servent a les cerner. Belle photo sinon, ca en devient penible tellement tous on decouvert le petit plus
pour faire passer un film franchement moyen

witloof :
1. endive en belgique, voir chicon*
2. terme pejoratif designant un huis-clos par alliteration belgo-belge

chicon :
1. sorte d'endive belge
2. joint mal roule

Bifff 2007 : Je te survivrai

Je sais j'ai un peu de retard, entre les soirees au bifff et les jobs foireux je n'ai pas vraiment le temp d'ecrire et de recuperer...
Parons au plus presse :

End of the Line : Judas be my Guide

Une bonne surprise apres $la$her, le transfert video/pellicule est maitrise, la photo aussi, les acteurs sont potables (bien meilleurs que dans la plupart des telefilms francais en tout cas).
L'histoire est simple, l'apocalypse est proche, beaucoups integrent une secte ultra-chretienne et decident de massacrer tout ceux qui n'en font pas partie, et eux-memes aussi d'ailleurs pour sauver leurs ames des legions de l'enfer. Le tout dans le dedale des galleries de metro.
Un film de couloir, mais on ne s'ennuie pas trop, et quand on sait que Benoit XVI vient de se rallier au camp des creationnistes au contraire de JP2 (et je ne parle meme pas de l'enseignement qui prone cela aux USA ainsi qu'au canada). On se dit que oui le film manque certes de subtilites, que la fin prete a caution miaas qu'ils serait temps d'arreter d'accorder du credit ou du repect a des systemes de pensees archaiques et meurtrier sous pretextes de tolerance, comme disais Desproges: La tolerance, Monsieur, il y a des maisons pour ca...

The Ferryman : une ptite piece siouplait

Sur le theme de charon, le passeur d'ames du styx, voici un film qui melange allegrement The Hidden, la mythologie grecque et Child's Play.
Joli tatouage, blonde de service, cruaute envers les chien-chiens, rythme soutenu, touche de gore et fin opportuniste, tout y est pour passer un bon moment.
Nous etions ensuite convies a un cocktail, je n'ai pas pu voir les hommes du roi en action...

J'ai faim

Comme tout bon popup monster qui se respecte, j'ai toujours faim. Et le prochain pixar ne va rien améliorer...




11 avril 2007

J'ai un peu honte....

Dire que j'aimais tout ça...
Il y a vraiment des perles sur ce site, de Baltimora des Tarzan Boy au générique de Santa Barbara (diffusé à une époque où on n'avait pas de magnétoscope et où je râlais très fort si je ratais mon épisode !)

Bifff 2007 : Eurasie

Jade Warrior : ...
Je vais relire les legendes de tolkien, la mythologie scandinave et les contes chinois pour bien comprendre ce film. La musique m'a bien fait voyager, melange du kronos quartet, de musique d'asie centrale et d'experimental finnois, extremement bien maitrisee, j'ai decouvert la deux compositeurs (Samuli Kosminen et Kimmo Pohjonen) de premier plan a milles lieus de l'infame soupe world. Tout cela soutient une image magnifique, des noirs profonds, une image de nouveaux delavee toute en brun/jaune agrementee de quelques touches de bleu. Un long clips qui passe a cote de son ambition mystique/epique/contemplative par abus de parlotte et sujet meconnu. Mais la sensibilite finnoise et la tradition chinoise s'harmonise etrangement sans probleme.

ps de popupmonster: En cherchant des infos sur Kimmo Pohjonen, je suis tombée sur son site officiel où est annoncé qu'il a gagné un prix pour le score de Jade Warrior. Je l'avais découvert à l'époque du cd Kielo où il traite son accordéon comme un objet avec lequel il peut expérimenter. Il y a quelques extraits sur le site et plein de vidéos sur youtube.


Re:Cycle : silent alice hill
Les freres Pang nous prouvent a nouveaux leurs manque d'originalite en recyclant silent hill (le film) et alice in wonderland. Meme traitement de la transformation de la ville deserte que dans le film de Gans et meme parcours erratique que l'heroine de Lewis Caroll. D'accord la photo est de nouveaux magnifique mais tout cela est un peu vain. On est parti avant la fin, je me demande quel twist rechauffe ils nous auront servi cette fois. Je m'etais deja etonne du succes de the Eyes mais la je me mefierai longtemps de leur film.

10 avril 2007

Bifff au Nova

Roman : man woman

Apres May, Lucky McKee et Angela Bettis echangent leur place tout en gardant la meme thematique, solitude urbaine, apprehension et idealisation de l'autre sexe.
Roman espionne sa voisine puisqu'il n'a pas de tele, en essayant de la retenir lors de leur premier rendez-vous il la tue par inadvertance. Il decide alors de conserver son corp dans sa salle de bain. C'est alors qu'il rencontre Eva, une sorte d'Elfe fascinee par la mort au coiffure florale eblouissante. Une histoire simple mais captivante proche a mon avis des romans que lit popup.
Tourne en video dans tres peu de lieux et avec des moyens forts reduits, ce film nous rapproche de personnages decales, maladroits, morbides mais attendrissants. A voir chez soi avec des sous-titres cette fois. Dvd disponible ici

09 avril 2007

Premier Week-End de Paques au BIFFF 2007

Je suis moins fatigue que prevu et pourtant j'en ai vu des films.

Dimanche


The Entrance : toi tu sors

Tourne en video (en progressif sans doute) avec une grande maitrise des hautes lumieres qui d'habitude plombent le transfert vers pellicule, ce film mystico chretien qui nous decrit une sorte de purgatoire / bardo au fond d'un parking est d'un ennui profond. Du Lynch anemique, le gardien du parking se prend pour le vieux dandy poudre et vicieux de lost highway. La ou Lynch fait travailler l'inconscient en dehors de toutes references a la culpabilite judeo-chretienne, on assiste ici a l'esbrouffe d'un clipeur sous valium. Bof Bof
Pas fait attention a la musique


Marmorera : ma petite sirene des alpages

Une photo a nouveaux tres maitrisee, toute en clair obscur, enrobe ce film d'un cocon amniotique. Clairement fait pour l'actrice principale (une danseuse belge tres convaincante) de l'aveux meme du realisateur, ce film deploie une poesie toute en langueur (mais aussi en longueur malheureusement) sur base de legendes et contes suisses dans un jeu de miroir entre le passe englouti d'un petit village et le present d'un psychiatre fraichement papa. Une belle partition vient completer le tableau (extrait disponible ici sur le site officiel) et m'a gentiment berce: j'etais un peu fatigue et je me suis noye endormi dans ce film, je me rattraperai en dvd.


The Messengers : mechant le papa, mechant...

De nouveaux, une tres belle photo, chaude et poussiereuse comme le midwest. Des acteurs potables, des effets bien amenes mais un scenario bien oxyde, normal c'est les freres Pang aux commandes : entre shining et les oiseaux ave une pincee de the Eye, on se ballade dans ce films de fantomes cherchant vengeance. Tres mou, decevant


The Invisble : un film a non-voir

Je n'ai pas vu l'original et ce remake ne donnent pas envie. Faut etre une teenager americaine pour accrocher a cette bleuette de fantome.
Le ville ou se situe l'intrigue est entouree de sapins, ca tombe bien, on en a bien besoin pour l'enchainememt de sequences ikea. Un soupcon de ghost, une pincee de dead poets society, une larmichette de tous ces films neuneus sur les ados en perditions vous secouez, remplissez de sapins pour meubler et vous obtener un fim a non-voir. Tout y est l'ado super intello/cool/riche qui se fait tabasser et cherche a retrouver son corp pour sortir du coma. Il tombe amoureux de la fille qui l'a mis dans cet etat, une fille perdue qui joue la rebelle/voleuse mais a evidemmment un coeur aimant pour son petit frere vu que ses parents divorces ne s'en occupent pas. Comme d'hab' elle meurt pour sauver le jeune homme du debut. On a droit a la sequence de party dans la maison au passage, la sequence de boite de nuit, histoire de placer queqlques tubes du soundtrack. J'ai passe l'age je crois ou c'est juste que je trouve the crow mieux ecrits ?


Simon Says : jacques a dit tu ira voir ce film !!!

Crispin Glover cabotine avec genie, les ados debiles et d'autres cretins aux passages se font degommer a coup de pioche et de machette (voire les deux graces au lance pioche, 10 pioches secondes tres efficace contre ces jeunes forniqueurs dans les bois). L'histoire classique de jeunes partis camper: le bellatre, le taffeur, la petasse, la pimbeche et la gentille coincee rencontre simon, ou plutot stanley son frere jumeaux qui leur fera une magnifique visite guidee des bois. J'ai pu terminer mon soir heureux, enfin un scenario qui ne se la joue pas mais remplit son contrat. A voir.




Samedi




The Exit : circuler y'a rien a voir

Thriller financier melant vengeance et racket m'a vraiment ennuye malgre une photo et un cadre tres maitrise (les films de cette annees me poussent a croire que les solutions d'etalonnage se sont bien democratisees et que films de genre a petit budget ne rime plus avec images pisseuses). L'epouse hysterique qui n'ecoute rien et qui fait conneries sur conneries m'a vraiment exaspere tant ce genre de personnage a ete mille fois vue (ripley revient lui foutre une claque s'il te plait). L'histoire tourne en rond et la realisation n'aboutit pas. Dommage il y avait matiere a faire mieux.
Le score n'est pas tres abouti, mal utilise et monte en depis du bon sens (ex: gros plan de tourne-disque qui tourne a vide avec musique de piano etheree par dessus alors qu'un son seul d'aiguille qui crachote et l'ambiance de la piece aurait suffit)
Ratage donc


La Sconosciuta : sortez les mouchoirs

Long, mal amenne, et Ennio Morriconne qui part en vrille font de ce sujet grave (le traffic de prostitue Ukrainienne qu'on force a tomber enceinte pour ensuite revendre leur bebes et le parcour de l'une d'elle qui devient domestique d'une famille pour rester aupres de sa supposee derniere fille) un monument de lenteur vaguement larmoyante. La ou l'on devrait s'attacher a la tragedie de cette femme on retrouve un thriller poussif sans grands interet et un happy end a oscar. Un mauvais Thriller pour un scenario avec une bonne idee.
J'avais franchement envie de tondre la gamine. Vite une troll


The Hills have Eyes 2 : de la chair a bantha

Fun, suffisament gore pour un film de la fox, cette sequelle du remake (vous suivez ???) remplit son contrat sans se prendre la tete.
Mais si on pouvait s'identifier et s'attacher a la famille du premier, la politique etrangere americaine actuelle ne nous permet d'eprouver aucune emotions pour ses trouffions. Caricature de la bleusaille U.S. transformee en chair a bantha ou en reproductrices forcees, on attend qu'une chose: comment qu'ils vont tuer le prochain soldat les mechants cannibales mutants. Mais le rythme, les moyens et le gore ne nous demandent aucune reflexions et on ressort de la tout ragaillardis. Encore !!! J'aurais quand meme voulu voir le scenario d'Aja, refuse parce que parait-il trop vicieux !!!
Soundtrack et effets tonitruants ou angoissant, pas marquant.




Vendredi




The Host : fallait pas nous chercher

Ou comment reunir une famille que tout separe autour de l'enlevement d'une petite fille.
Un pere a moitie debile, sa soeur championne de tir a l'arc, son frere universitaire au chomage et grand-pere qui tient un minuscule snack minable sur le bord de la riviere voient leur unique enfant emportee par un monstre aquatique issu de la pollution.
Sur ce pitch mille fois rabache, le realisateur parvient a tisser une histoire pleines de rebondissements, a la fois burlesque (style humour de hong-kong) et dramatique. On oscille souvent entre le rire bien gras pour se retenir soudain de pleurer devant ce qu'endure ce pere pour retrouver sa fille. Le happy end aigre-doux conclu ce film en demis tons mais au rythme bien dose (mention speciale pour l'utilisation judicieuse de la musique dans la sequence de mise a mort de la creature). Un must, une agreable suprise tant il est vrai que les films de grosses bebetes me laissent souvent indifferent.
Question musique rien de bien interessant, elle rempli son office mais une ecoute hors fim ne sera pas des plus interessantes.


Plane Dead : les zombies dans l'espace...

Un film de zombies ca ne se refuse jamais, surtout au bifff !!!
Apres une exosition des protagonistes un tantinet longuette , on rentre dans le vif du sujet, et la c'est pres d'une heure de course poursuite de la soute ou premier etage de l'avion, en passant par les classes economiques, les toilettes, les conduits de ventilation, a travers les planchers. Quelques clins d'oeils a brain dead (arrachage des jambes de la nonne qu'on tente de sauver) a silent hill (le jeu), oui on peut reussir un eagle par le par avec une tete de zombie et un acteur qui se prend pour tiger wood. J'attend le dvd avec impatience pour rigoler un coup le soir de noel.
Le soundtrack est efficace, nu-metal de circonstances et score fonctionnel, on attend le cd pour une ecoute distraite mais pas essentielle.


Dog Bites Dog : marche ou creve

Photo magnifique, gris bleu delave du jour et jaune-vert de la nuit compose une magnifique toile de fond au gerbe de sang noir du film.
La partition n'est pas en reste, reminiscences de musique atonale et de ghost in the shell concourrent au detachement et au sentiment d'inhumanite de ces deux chiens fous. Popup ete fatiguee (il etait plus de minuit) et je n'ai malheureusement pas vu la fin et j'attendrai que wild side ou asian star le sorte au plus vite.

06 avril 2007

Bifff 2007 : Sunshine, mon gsm dans l'espace...

Hier, en premiere europeenne nous avons pu voir Jean-Claude VanDamme Sunshine, de Danny Boyle. Malgre quelques longueurs et beaucoups d'invraisemblances scientifiques (on flotte dans un vaisseaux spatial normalement, la gravite et la chaleur aux alentours du soleil doivent etre telles qu'on ne peut plus bouger vu qu'il n'y a plus rien a bouger). Il aurait pourtant ete interessant de creuser le sillon du mysticisme judeo-chretien qui poussa l'equipage d'icarus I a se sacrifier, il est legerement introduit par la fascination foetale du psychologue de bord qui aime a se baigner dans la lumiere de plus en vive de notre etoile et par le suiscide fusionnel du capitaine de bord mais tout cela est tres vague, c'est pourtant dommage puisque c'est un element cle du recit... Bref, un film au pathos flamboyant, un final previsible mais pour une fois tous le monde meurt a la fin. La terre est sauvee, le soleil est sauve. Et Jean-Claude aime la Biere et son pays, you know !!! En attendant mon collegue Jean-Baptiste a egare notre ticket de vestiaire resultat mon gsm a ete recupere par un autre, comment est-ce que je vais filmer les prochains films moi ???

03 avril 2007

BIFFF, éditions 1 à 24

Vous avez raté les éditions précédentes du BIFFF ? Pas de souci, Brigitte Segers a préparé une liste de tous les films disponibles à la Médiathèque en DVD et VHS. Au passage, n'oubliez pas de consulter les playlist pour un peu de plaisir auditif, il y en a 4: une de Thierry Moutoy, une de Catherine Thieron, et deux de Geoffroy (la version rock est ici)...
Et encore un peu de pub pour cette page-ci.

01 avril 2007

Jardin



Depuis que j'ai emménagé dans la maison que j'ai achetée, j'avais envie d'aménager la cour. A l'origine, je voulais un jardin minimaliste (la base l'est restée: grands bacs pour les plantes, grandes dalles noires au sol), mais aussi une inspiration japonaise qui fonctionne bien avec le côté minimaliste (il y a un bambou et un petit érable). Le problème, c'est que dès que je vais dans un magasin de plantes, je suis tentée par plein de choses, j'ai donc évolué vers un jardin exotique, un peu luxuriant (il y a un bananier et un palmier qui est encore minuscule) et voilà que cet hiver je vois une émission sur la BBC (grand fournisseur de programmes de jardinage) sur comment cultiver ses propres légumes... Bref, j'ai semé des piments, des tomates, des aubergines, du basilic... et on verra bien où je pourrai mettre tout ça.

Les photos montrent l'évolution entre avril 2003 et juillet 2006. D'autres photos de cette année suivront. Et puis peut-être des liens vers des blogs de jardinage.

Bad Girls


Pour une fois que je n'avais pas lu une critique avant d'être tentée par l'achat d'un livre, en voilà une dans Gaël... Mais je dois dire que j'ai été séduite par Bad Girls de Colleen Curran, par l'écriture assez simple mais aussi le côté nostalgique années 80. Moi aussi à cette époque, j'étais dans une école catholique, avec l'uniforme et cie, mais j'étais bien plus sage que les héroïnes du roman. Un premier roman qui restera encore un petit temps dans mon esprit...

Amy Sol


Quelques jolies images d'Amy Sol, pleines d'animaux bizarres et aux couleurs passées...